Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 5 ans
Bonjour Maître,
Comme vous me l’avez demandé, je vous écris aujourd’hui ce compte-rendu de notre dernière rencontre. Vous livrer totalement le fond de mes pensées et mes fantasmes est bien plus dur que m’offrir à vous sans concession.
Le rendez-vous était fixé chez vous à 18 heures. Je devais entrer sans sonner, monter dans votre chambre, me mettre nue hormis mes bas et m’entraver couchée sur le dos bras et jambes écartées. Vous avez insisté pour que je bande mes yeux avant de fermer les menottes.
J’ai longuement pensé pendant deux jours à cette consigne, à tout ce que cela représentait. J’avais peur et j’étais en même temps très excitée. Si vous ne m’aviez pas interdit de me masturber, je l’aurais fait plusieurs fois. De toute évidence, vous souhaitiez me rendre folle d’excitation et vous y êtes arrivé. J’avais peur mais pas de vous, mais de l’inconnu, de pas savoir est grisant mais aussi inquiétant.
Devant votre porte, je n’osais plus entrer même si ma culotte était déjà mouillée, j’avais comme un blocage. C’est la peur de vous décevoir qui m’a poussée à suivre vos consignes. Il m’en a beaucoup coûtée d’ouvrir votre porte. Une fois à l’intérieur, j’ai essayé de vous voir pour me rassurer mais en vain, vous deviez être caché ou occupé quelque part. Selon vos consignes, je suis donc montée dans votre chambre, ce lieu magique où tant de fois vous m’avez conduite au plaisir par des chemins détournés, où vous m’avez « v i o l é e » malgré mon consentement.
Ce que je ressens ? Quelles sont les pensées et mes fantasmes en ces moments là ? Mon dieu que ces questions sont dures pour moi. J’ai promis de tout vous dévoiler sans pudeur, présentement je dois « v i o l e r » ma pudeur pour répondre à vos questions.
Quand vous m’attachez pour me faire l’amour, mes plaisirs sont décuplés. Je peux tirer sur les liens pour faire comme si je ne voulais pas, comme si j’étais obligée de subir. En même temps, être attachée m’empêche de vous faire des câlins, de vous serrer dans mes bras, je me sens encore plus Votre chose.
Oh que c’est dur de vous avouer que dans ces moments là, je fantasme sur le fait d’être « v i o l é e » par plusieurs personnes, d’être livrée sexuellement comme si j’avais été enlevée. Ou pire, d’être vendue pour la soirée dans un bordel. On m’attache sur un vieux lit, des hommes viennent un après l’autre pour me baiser sans plus de considération que si j’étais une poupée gonflable. Ma bouche fait partie de la vente, je dois embrasser ces hommes, sinon, ils ont le droit de me punir.
Lors de notre dernière rencontre, une fois que j’ai attachée mes chevilles aux bracelet que vous aviez installés, j’ai donc bandé mes yeux sans essayer de tricher avant de menotter mes poignets aux angles du lit. Le faire moi-même a été bien plus difficile que si c’est vous qui le faisiez. Je préfère quand vous m’imposez, là je devais m’offrir. Vous avez fait claquer les portes de la maison, j’ai compris plus tard que c’est vous qui faisiez sonner votre téléphone, qui sonniez à votre porte. Mais en attendant de comprendre ..... quelle horrible question !
En attendant de comprendre ?
J’avais peur en repensant à votre question : « et si un jour je veux te livrer à un ou des hommes ».
J’avais peur en repensant à ma réponse : « je vous appartiens, libre à vous de décider de tout ».
Je me suis dit « cette fois tu y passes » il va te faire baiser par un inconnu. Ce qui me gênait le plus, c’est que vous puissiez me voir me faire prendre ou pire encore, prendre du plaisir avec un inconnu. Je crois que j’aurai honte de prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre que vous.
Et puis vous êtes entré au bout d’un long moment. Je l’ai su parce que la latte du parquet a craqué. On a les sens qui se découplent lorsque l’on ne voit pas. Quand votre main gantée m’a touchée, j’ai serré les dents, quand elle est venue toucher mes seins, mon coeur s’est emballé, dans ma tête j’allais vraiment y passer. Quand votre main, sans gant, a commencé à fouiller mon intimité, je ne l’ai pas reconnue, honte à moi. Vous avez volontairement été plus brutal et sur le coup, j’ai vraiment cru que c’était quelqu’un d’autre que vous.
Quand vous avez dit « je te la laisse 20 minutes, préservatif obligatoire, si elle résiste, tu as carte blanche » j’étais vraiment dans le scénario que vous aviez organisé. Je vivais vraiment la mise à disposition sexuelle de votre soumise. Vous avez poussé le vice jusqu’à changer votre parfum, celui de l’homme qui s’est couché sur moi !
Je me suis encore dit « cette fois tu y passes ». Ce que j’ai ressentis ? Mon dieu que ces questions sont dures pour moi. Deux mots me viennent à l’esprit : honte et fierté. Honte parce que j’avais l’impression d’être une prostitué, fierté parce que j’allais faire ce que vous aviez décidé et il était hors de question que je demande d’arrêter.
Honte à moi quand vous m’avez pénétrée. Je n’ai pas reconnu votre sexe. Mon esprit s’est concentré sur mon vagin, sur les sensations que je ressentais avec « un autre ». Physiquement, elles étaient proches de celle éprouvées avec vous mais il manquait le principal : vous. Pour déjouer mes sens olfactifs, en plus du parfum, vous sentiez la transpiration et une autre odeur. Vous aviez volontairement oublié de vous doucher après avoir coupé votre bois avec la tronçonneuse. Vous êtes si propre d’habitude que je me suis encore faite « avoir ».
Et là vous avez décidé de me « m’achever ». Vous avez détaché mes jambes pour pouvoir les remonter sur ma poitrine. La pénétration est alors devenue plus profonde, presque douloureuses. Au moment où vous avez posé le magic wand massager sur mon clitoris en même temps que vous me preniez, j’ai eu alors un gros doute. Vous recherchiez mon plaisir, celui d’un homme venu juste pour me baiser n’était pas là, sauf si vous aviez donné cette consigne.
Lui donner cette consigne, vous en êtes tellement capable dans vos machinations, que malgré le doute j’y croyais encore. Mais quand vous avez arrêté le magic et m’avez embrassée, je vous ai reconnu malgré tous les artifices. J’ai pu m’abandonner à mes démons, à mes fantasmes du « v i o l » ou de la prostitution.
Pour répondre à votre dernière question :
Si vous l’aviez réellement fait, non je ne vous en aurai pas voulu. Lorsque je vous dis que je suis VOTRE chose, je suis sincère. Libre à vous de décider de tout.
Merci Maître de cette expérience qui fut grandiose, encore une fois.
Votre soumise Salia
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JEUDI 14 FEVRIER 19 HEURES
Soumise Salia s’est faite belle, le cadeau de son Maître est dans son sac à main lorsqu’elle entre chez son Maître avec un sourire radieux posé sur les lèvres. Comme à son habitude, il est parfumé, bien vêtu souriant. Elle porte la culotte fendue comme demandé, des bas noirs, et une magnifique robe noire assortie.
Ce qui l’a surprend quand ils entrent dans la salon, c’est que le banc à fessée fabriqué par son Maître soit là. Judicieusement conçu, il permet de faire bien plus que de donner des fessées. Son Maître est-il fâché par le compte-rendu qu’elle lui a adressé ? Soudain très inquiète, elle essaye d’en savoir plus, comme toujours, il ne lui dévoile rien mais reste souriant.
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Tu sais que je t’aime toi ? Lui indique son Maître en la serrant dans ses bras.
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Je vous aime encore bien plus t’avantage que très beaucoup plus mieux bien que vous ! Répond sa soumise avant de lui voler un baiser.
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En voilà des manières de m’embrasser sans permission ! Le banc à fessée t’excite ? Murmure son Maître à son oreille.
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Oui un peu même si j’ai un peu peur, mais vous seul décidez si je mérite ou pas d’y faire un séjour.
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Je pense que tu le mérites, installe-toi dessus vilaine fille !
Toute tremblante comme à chaque fois qu’il lance un nouveau jeu, cela en est un car il est si souriant que cela ne peut pas être une vraie punition, la belle y prend place. Son Maître entrave ses poignets, ses cuisses puis ses jambes avant d’ajouter la sangle qui la plaque contre la barre centrale. Il ne serre cette dernière sangle qu’après avoir fait « échapper » ses magnifiques seins de la robe de soirée. Encore une fois, elle est particulièrement offerte à son Maître, le fait qu’il ait libéré ses seins la rassure, ce n’est vraiment pas une punition. Quand il la punie, il n’est absolument pas sexuel ni souriant.
Avant de poser un bandeau sur ses yeux, il l’embrasse tendrement avant de lui dire qu’elle va recevoir son premier cadeau de la Saint Valentin. Son Maître soulève le bas de sa robe et commence à lui donner une petite fessée n’ayant qu’un but : l’exciter. Il claque ses fesses plus ou moins fortement et alterne les coups avec des caresses ou petites griffures. Salia adore ça, à chaque fois qu’il griffe ses fesses entres les fessées, tout son corps frémit et se contracte. La sonnette la fait bondir !
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Qui c’est ? Demande Salia.
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« Qui est-ce » serait plus français ! Répond son Maître sans pour autant lui donner plus d’information.
Il l’abandonne attachée fesses à l’air pour aller ouvrir et faire entrer quelqu’un dans la maison. L’horreur absolue s’installe dans la tête de Salia quand l’invité entre dans le salon. Cette fois, elle sait qu’il y a réellement quelqu’un au bruit des pas.
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Elle a été très vilaine, j’avoue humblement qu’un peu d’aide pour parfaire son éducation ne me ferait pas de mal. Indique son Maître à l’inconnu.
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Merci d’avoir pensé à moi, cela sera un plaisir de vous prêter main forte si je le peux.
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Je vous laisse faire connaissance, je vais nous chercher à boire. Du champagne vous irait ?
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Cela sera parfait pour moi, merci ! répond l’inconnu commençant à caresser les fesses exposées de Salia.
Ses mains sont bien différentes de celles d’un fesseur, elles sont baladeuses et vicieuses. Salia s’en rend compte de suite quand ses doigts jouent les explorateurs en fouillant son intimité et en malaxant ses seins.
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C’est une très belle chienne que vous avez là cher ami ! Lance l’inconnu quand son Maître débouche le champagne.
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Je conviens volontiers d’avoir beaucoup de chance, de l’avoir rencontrée sur Fessestivites l’année dernière. Répond son Maître, avant d’ajouter qu’il a encore beaucoup de travail pour parfaire son éducation.
Salia entend les fluttes se choquer et qu’ils trinquent à l’éducation de la chienne. Les attouchements reprennent, l’inconnu claque un peu les fesses offertes pour le plaisir de les rougir un peu. Soudain, elle entend le bruit du magic wand massager qu’elle aime tant, sauf que là, elle préfèrerait ne pas l’entendre car elle sait que si son Maître l’a sorti, ce n’est pas pour rien. « Pourvu qu’il n’essaye pas de me faire jouir devant un inconnu » pense Salia.
Ses espoirs sont vains, son Maître titille son clitoris avec le magic pendant que l’inconnu fouille son intimité.
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Elle est serrée à souhait et bien humide ! Indique l’inconnu. L’autre côté est-il aussi accueillant ?
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Libre à vous d’aller le découvrir ! Répond son Maître.
Quelques secondes plus tard, quelque chose touche les lèvres de Salia. L’ordre tombe d’ouvrir la bouche, elle s’exécute, une verge s’y engouffre. « Au mon dieu, cette fois je vais y passer pour de vrai » pense immédiatement la belle en suçant honteusement un inconnu devant son Maître. Il la tient par les oreilles et s’en sert pour agiter la tête en fonction des ses envies, pendant que son Maître continue de titiller son clitoris avec le magic.
Soudain il se retire de sa bouche puis vient derrière elle. L’homme passe un préservatif puis fouille entre ses lèvres intimes pour trouver la faille et s’y engouffre rapidement avant de dire « hummm elle est bonne ». Si son fantasme d’être sans possibilité de fuite et prise par un inconnu se réalise, Salia est morte de honte. Elle n’éprouve aucun plaisir parce que cela se passe devant son Maître. L’horrible magic vient à nouveau la titiller, elle sait que c’est son Maître qui le tient et le guide de façon à la faire « monter ».
- Je ne veux pas que tu résistes à la jouissance, mais je veux que tu me demandes le droit de jouir comme d’habitude ! Lui ordonne son Maître.
Soudain il arrête la sollicitation de son clitoris pour l’abandonner à l’inconnu profitant d’elle à sa guise. Lorsqu’il revient, Salia frémit quand elle sent qu’il lubrifie son anus. « Non, il ne va pas oser m’offrir de ce côté » pense sa soumise.
- J’ai encore fait des folies sur ABCplaisir, je t’ai pris un rosebud queue de chienne, je trouve qu’il n’y a pas de meilleurs moments pour te l’offrir. Lui annonce son Maître en le poussant dans le creux de ses reins aidé par l’inconnu lui écartant les fesses.
Pendant les pénétrations, l’homme joue avec la queue dépassant des sublimes fesses offertes. Dans la tête de Salia, c’est un peu Beyrouth pendant que dans son intimité chahutée un camaïeu de sensations s’installe. Son Maître reprend le magic et la sollicitation de son bouton des plaisirs. La soumise ainsi « « travaillée » » dans son derrière, son chaton et son clitoris ne peut que tirer sur les entraves quand elle sent le plaisir arriver à grands pas.
- Maître, est-ce que je peux jouir s’il vous plait ! Demande Salia en moins de deux minutes de ce traitement si particulier.
Sachant que l’attente est aussi cruelle que démentielle en terme de sensation, il la laisse attendre un peu avant de lui accorder le droit de jouir. Le « tu peux » tant attendu à peine prononcé, elle se met à hurler tant sa jouissance est forte. Salia, qui est si timide en d’autres temps, laisse sa gorge libre d’exprimer son plaisir.
Profitant des contractions, son plug que de chienne lui est retiré générant une nouvelle sensation qui prolonge un peu la vague de plaisir. Quand elle sent qu’on lui écarte les fesses, Salia crie « non », son Maître crie « comment » d’une voix colérique.
- Je n’ai rien dit Maître ! Répond Salia honteuse
Son Maître a été le premier a la déflorer derrière, il est toujours doux quand il la sodomise, là elle a peur. La sentant très contractée, il utilise le magic en guise de décontractant ! La voix impénétrable se décontracte sans tarder puis s’ouvre à la verge de l’inconnu qui s’y engouffre. Et là son Maître arrête le magic pour venir s’asseoir près de son visage.
- Là tu es possédée au plus profond de ton être, tel est mon premier désir. Le second est que tu jouisses ainsi pour moi. Lui indique son Maître en l’embrassant.
Sous les baissers doux, la sollicitation de ses tétons, Salia commence à s’abandonner mentalement à la possession de ses reins. L’inconnu s’en donne à coeur joie, la douleur de la pénétration se transforme rapidement en un plaisir pervers chahutant sa pudeur, sa réserve si naturelle. Elle se surprend à s’entendre dire des « oui » à répétition sous les assauts de l’inconnu jusqu’au moment où elle se doit de demander la permission de jouir.
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Salia a perdu connaissance, une paire de gifles la ramène sur « terre ». Elle craque et pleure, ses nerfs viennent de lâcher. Cela lui arrive parfois quand elle atteint de très hauts seuils de jouissance. Son Maître la libère des entraves, elle n’a pas envie de bouger et reste offerte, fesses à l’air, bras ballant. C’est à peine si elle entent la porte de la maison se refermer sur l’inconnu. La honte la submerge soudain quand son Maître entreprend de laver son intimité avec des lingettes.
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Non Maître, je vais le faire !
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On ne dit pas « non » à son Maître ! Coupe net sa réfutation.
Un tout petit moment plus tard, il lui ordonne de retirer son bandeau et de venir se mettre en position 6 devant lui, en précisant, quand tu t’en sentiras capable, je ne veux pas que tu tombes. Salia ne tarde pas à descendre du banc à fessée puis à venir se mettre dans la position demandée devant son Maître.
- Je suis fier de toi d’être allée jusqu’au bout. J’espère que jusqu’à présent mes cadeaux te plaisent. Le rosebud queue de chienne n’est qu’un sextoy, te faire prendre par un inconnu ne m’amuse pas. C’est un réel cadeau qui m’a coûté très cher affectivement que je viens de te faire, que de te permettre de réaliser ton fantasme. Tu peux ouvrir le paquet qui est devant toi !
Les doigts tremblants ouvrent le paquet cadeau et, au moment où elle découvre que c’est un Collier BDSM à combinaison, Salia fond en larmes, le bonheur est trop fort pour être contenu dans son petit coeur.
EPILOGUE
Salia et Maître Henri sont allés dîner au restaurent après avoir pris le champagne. Salia a tenu à porter son collier au restaurant. Très fière d’afficher son appartenance, elle a indiqué à la dame qui vendait des roses : « non merci, la rose de ma vie est à mon cou ».
TSM
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